Le département des études de la langue portugaise de l’université Clermont – Auvergne de Clermont-Ferrand a tenu ce jeudi 17 novembre la deuxième édition de la journée de la lusophonie dans les locaux de la maison des sciences de l’homme à l’amphi 220.
Cette journée d’envergure international réunie autour d’une table des acteurs culturels et littéraires qui débattent sur comment pérenniser la langue portugaise.
Les réflexions ont aussi tourné, entre autres, autour des politiques à adopter pour que la langue portugaise soit beaucoup plus accessible au public qui n’en n’a pas l’accès et aux élèves dans le moyen et secondaire qui souhaiteront faire des études de la langue portugaise.
Durant cette journée, l’importance de la mise en place d’un musée virtuel de la lusophonie depuis 2017 a été abordé par Moises Martin, l’intervenant par visio-conférence.
Mazé torquato Chatil qui est aussi l’une des intervenant a abordé la question de l’Union des Européennes des écrivains de la langue portugaise crée depuis des années. Il se trouve que, selon Mme Chatil, cette Union donne sa partition dans le cadre de la pérennisation de la langue portugaise.
Dans le même sciage, l’employabilité dans les espaces francophones des jeunes lusophone, luso-descendant et ceux qui articulent cette langue a été soulevé par Léa qui est une employée de L’association portugaise Cap Magellan Basé à Paris.
BA Amadou
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